L’Atelier du Furoshiki est heureux de vous proposer
une nouvelle création textile et sonore
Instants d’été japonais
©L’AtelierduFuroshiki
Si vous êtes une médiathèque, un festival, un centre socio-culturel, un musée, une entreprise, etc. et que vous souhaitez offrir à vos visiteur·ice·s une parenthèse sonore dans le cadre d’un événement sur le Japon, le voyage, le slow tourisme, le son, etc., cette installation sonore est idéale.
Cette ombrelle sonore est faite pour toutes celles et ceux, curieux·se·s, amoureux·se·s du Japon, qui ont envie de découvrir une ambiance sonore estivale sur l’archipel nippon.
Bruits urbains, musiques, chants, sons de nature, etc. les invitent à faire une pause dans leur quotidien et à vivre quelques instants d’été japonais.
Cette expérience immersive permet de voyager avec les oreilles sans exploser son budget ni son bilan carbone.
A la fin de ce voyage sonore, les participant·e·s pourront immortaliser ce moment en laissant, sur leur carnet ou sur une petite feuille laissée à leur disposition, l’empreinte du « tampon souvenir », comme le proposent les nombreux sites culturels et gares japonaises.
Création textile : 44 bandes de draps anciens en coton teint à l’indigo naturel.
108 grues réalisées avec la technique de katazome (pochoir et réserve de pâte de riz).
Durée de la création sonore : 12.38 mn/ passage. Écoute au casque par deux.
Tout public.
Peut-être couplée avec une animation furoshiki (ateliers, kamishibaï, etc.).
Pour tout renseignement et demande de devis, veuillez contacter Aurélie Le Marec au 06 83 71 59 41 ou contact@latelierdufuroshiki.fr
Au gré des balades en transports en commun (trains et bus : fréquents, ponctuels, propres), le furoshiki est un allié pour transporter toutes ses affaires dont une gourde, un éventail, des paires de chaussettes (pour visiter ou manger dans tous les lieux avec tatamis), des paires de baguettes…
Tout ce qui permet d’éviter les sacs et les bouteilles en plastiques, la climatisation, et les baguettes jetables proposées dans les nombreux restaurants.
En voyage, essayons de garder nos bonnes habitudes éco-responsables…
L’Atelier du Furoshiki a visité le Musée du Shibori de Kyoto.
Un petit musée très intéressant avec la présentation des différentes techniques de shibori et 2 grandes fresques textiles, l’une copiant des extraits du Chôjû jinbutsu giga ou Chôjû giga, caricatures d’animaux (rouleaux de papier emakimono, du XIIe siècle, appartenant au temple Kôzanji de Kyôto et reconnus trésor national du Japon).
Les dessins de ces rouleaux, certainement une œuvre collective, caricaturent les moines bouddhistes japonais du XIIème siècle, les représentant sous la forme de grenouilles, lapins et singes. Certains le considèrent comme le plus ancien manga japonais.
La 2ème fresque s’inspire de ces rouleaux en l’adaptant au motif des jeux olympiques à l’occasion des Jeux Olympiques de Tokyo en 2020.
Vous pouvez aussi vous essayer à cette technique en participant à des ateliers.
©L’AtelierduFuroshiki
Brocante au Parc Okazaki de Kyoto.
Quelques furoshiki pour transporter et remiser les objets et textiles, Boro.
Le boro, lambeaux, haillons en japonais, est composé de textiles rapiécés avec des restes de vêtements, rideaux, housses de futon, etc. Cette technique permettait aux paysans japonais peu argentés de prolonger la vie des cotons et éviter le gaspillage. Transmis de génération en génération, ces textiles, enrichis au fur et à mesure de nouvelles pièces liées à des histoires familiales fortes, appliquent ce concept esthétique de wabi-sabi (sobriété, simplicité, asymétrie ainsi que marque du temps et d’usure sur les choses).